Co-production franco-tunisienne, le film fut offert par le gouvernement français à la Tunisie. Les négatifs de la version française et de la version arabe du film traversent la Méditerranée et l’on en perd la trace pendant plusieurs décennies.
Grâce à l’obstination de Diane Baratier, la fille de réalisateur, le Ministère de la Culture Tunisien retrouve après de très nombreuses recherches ces éléments originaux dans un stock des studios de Gammarth. Il les confie au CNC afin d’en assurer la restauration au sein de son laboratoire avec la participation de Diane et de l’Association Jacques Baratier.
Cannes Classics propose de redécouvrir le 22 mai à 16h30, le charme envoûtant de ce conte oriental aux accents universels.
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