- Aïcha, de M. Mehdi Barsaoui, produit par Dolce Vita Films (FR) et Cinétéléfilms (TN) à hauteur de 80 000€ (60 000€ côté CNC, 20 000€ côté CNCI)
- Aïcha, de M. Mehdi Ben Attia, produit par Gladys Glover (FR) et Guru Production (TN) à hauteur de 85 000€ (60 000€ côté CNC, 25 000€ côté CNCI)
- Je m’appelle Clara, de Mme Sarra Abidi, produit par Black Boat Pictures (FR) et Synergy Productions (TN) à hauteur de 85 000€ (55 000€ côté CNC, 30 000€ côté CNCI)
- Le cœur au ventre, de Mme Saskia Waledisch, produit par Marabout Films (FR) et Instinct Bleu (TN) à hauteur de 70 000€ (45 000€ côté CNC, 25 000€ côté CNCI)
- Le pont, de M. Walid Matter, produit par Barney Production (FR) et Fakroun Production (TN) à hauteur de 65 000€ (45 000€ côté CNC, 20 000€ côté CNCI)
- Soudan, retiens les chants qui s’effondrent, de Mme Hind Meddeb, produit par Echo Films (FR) et My Way Productions (FR) à hauteur de 40 000€ (35 000€ côté CNC, 5 000€ côté CNCI)
Lancé en 2017 en collaboration avec le CNCI et renouvelé en 2019 pour trois ans, le dispositif a déjà permis de soutenir 31 coproductions franco-tunisiennes dont plusieurs ont été sélectionnées dans des festivals internationaux : c’est le cas de Mon cher enfant (Weldi) de Mohammed Ben Attia (Quinzaine des réalisateurs, 2018 et Oscars 2019), Sortilèges (Tlamess) de Ala Eddine Slim (Quinzaine des réalisateurs, 2019), Un fils de Mehdi Barsaoui (Mostra de Venise, 2019), Noura rêve de Hinde Boujema (San Sebastian, 2019) ou encore L’homme qui a vendu sa peau de Kaouther Ben Hania (Mostra de Venise, 2020 et en compétition aux Oscars 2021).
La prochaine commission aura lieu en 2022.