« Titane », « Dune », « Illusions Perdues »... Les films à revoir lors du festival « Les Incontournables UGC »

« Titane », « Dune », « Illusions Perdues »... Les films à revoir lors du festival « Les Incontournables UGC »

12 janvier 2022
Cinéma
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Vincent Lindon dans « Titane » de Julia Ducournau.
Vincent Lindon dans « Titane » de Julia Ducournau. Diaphana
Du 12 au 18 janvier 2022, 28 cinémas du réseau UGC projetteront une sélection de films qui ont marqué l’année dernière, au tarif unique de 3,5 euros la séance. 

Tout comme le Festival Télérama, le réseau des cinémas UGC propose de rattraper les films qui ont fait l'année 2021, du 12 au 18 janvier prochains. Présente dans 28 salles du groupe, cette rétrospective permettra aux spectateurs de voir ou revoir plusieurs productions françaises comme l'adaptation balzacienne Illusions Perdues de Xavier Giannoli, la tragédie musicale Annette de Leos Carax ou encore le biopic de fan de Valérie Lemercier sur la vie Céline Dion, Aline. L'événement donnera aussi l'occasion aux cinéphiles de rattraper le deuxième long métrage de Julia Ducournau, Titane, Palme d'or à Cannes et le dernier Lion d'or à Venise, L'Événement d’Audrey Diwan. D'autres productions françaises seront également à l’honneur, comme Une histoire d'amour et de désir de Leyla Bouzid, ou encore de la comédie grinçante de Bruno Podalydès sur le monde des start-up, Les 2 Alfred.


À côté des succès populaires comme Eiffel de Martin Bourboulon et le thriller Boîte Noire porté par Pierre Niney, Les Incontournables UGC fait aussi la part belle aux films d'auteur internationaux. Lion d'or à la Mostra de Venise 2020, le road movie Nomadland de Chloé Zhao avec une Frances McDormand de tous les plans sera diffusé dans le cadre de ce grand rattrapage, tout comme Compartiment n°6 du finlandais Juho Kuosmanen. Toujours sur la thématique du voyage, les retardataires pourront se délecter du film-fleuve de Ryûsuke Hamaguchi, Drive my Car. Enfin pour ceux en manque d'action, la programmation proposera le Dune de Denis Villeneuve, sans oublier le thriller effréné de l'iranien Saeed Roustayi, La Loi de Téhéran. On regrettera l'absence, entre autres, d'Onoda, 10 000 nuits dans la jungle d'Arthur Harari et du Sommet des dieux de Patrick Imbert.